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Facebook test le nouveau bouton « j’aime pas »

Facebook lance « downvote »

Facebook teste avant son lancement le bouton « downvote » situé sous les commentaires pour signaler ceux qui sont violents ou inappropriés. Une option uniquement présente chez les utilisateurs américains pour le moment. Rien à voir avec un bouton « je n’aime pas » car son utilisation est assez différente.

L’expérience devrait aider Facebook à modérer les commentaires offensants, sans que les utilisateurs n’aient à passer par l’option de rapport, qui contient trop d’étapes fastidieuses. Facebook a ajouté cette fonctionnalité « downvote » pour certains utilisateurs de son réseau social (pour le moment).

Un bouton « je n’aime pas » qui permet de signaler instantanément les commentaires violents ou inappropriés aux modérateurs. Le nombre de downvote d’un commentaire ne sera pas affiché. Mais l’option initie une procédure de rapport de modération à Facebook.

Facebook teste cette fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de faire des commentaires sur les commentaires de pages publiques. Cliquer dessus aura trois conséquences : La première est la disparition du commentaire ennuyeux, pour l’utilisateur. La seconde est la déclassification du commentaire, qui n’apparaît plus dans les premiers résultats. La troisième envoie un rapport de modération à Facebook. Mais avant, le réseau social demandera à l’utilisateur la raison de cette demande.

Ainsi, le bouton « downvote » proposera simplement de classer le commentaire entre « offensant », « hors sujet » et « trompeur ». Il s’agit donc d’une option de reporting simplifiée, ce qui devrait permettre au réseau social d’améliorer la modération des commentaires.

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Facebook va former 65000 personnes en France

Facebook a annoncé sa volonté de former 65000 Français aux compétences numériques dans le cadre d’une série de dispositifs gratuits destinés à aider à créer une entreprise et à réintégrer les chômeurs de longue durée.

Le géant des médias sociaux va également investir 10 millions d’euros supplémentaires dans l’intelligence artificielle en France d’ici 2022, indique le communiqué. Facebook travaillera avec 15000 Françaises dans l’espoir de créer leur propre entreprise, dans le cadre de l’extension de la campagne « She Means Business » déjà présente dans plusieurs pays.

Quelque 3500 d’entre eux suivront une formation informatique intensive et gratuite dans plusieurs villes françaises, tandis que 11500 autres auront accès à un cours en ligne. La société californienne travaillera également en partenariat avec Pôle emploi pour aider 50000 demandeurs d’emploi ayant des compétences en informatique dans un projet qui durera jusqu’en 2019. Son investissement en intelligence artificielle (IA) devrait permettre à Facebook de doubler à 60 le nombre de chercheurs sur son hub principal à Paris, l’un des quatre mondiaux.

« Ces initiatives font partie d’un programme paneuropéen, Facebook souhaitant former un million de personnes et fondateurs d’entreprises d’ici 2020 », indique le communiqué. « Facebook veut jouer un rôle clé dans l’ambition de la France de devenir le champion international de l’IA. »

La PDG de Facebook, Sheryl Sandberg, devait rencontrer lundi le président Emmanuel Macron avant d’inaugurer une exposition interactive, baptisée « Connexions », au nouveau centre technologique de la Station F à Paris.

La société affirme que l’investissement ne répond pas aux critiques de la France contre les quatre géants américains – Google, Amazon, Facebook et Apple – pour avoir évité de payer des taxes en Europe et ailleurs, mais son patron sud-européen, Laurent Solly, a récemment déclaré bientôt payer des impôts plus élevés en France. Le président Emmanuel Macron devait rencontrer lundi 140 chefs d’entreprises multinationales au château de Versailles dans le cadre de son plan d’action pour attirer les investissements étrangers.

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Pourquoi les flux d’actualités de Facebook changent-t-ils et comment cela va vous affecter

Qu’a annoncé Facebook?

La société est en train de modifier l’algorithme qui gère le fil d’actualités, qui affiche une sélection informatisée de messages provenant d’autres utilisateurs et de pages Facebook. Il ne sera plus prioritaire de «vous aider à trouver du contenu pertinent», explique le fondateur du site, Mark Zuckerberg . Le nouvel objectif est de vous aider à « avoir des interactions plus significatives ».

Qu’est-ce qui va changer?

Aujourd’hui, les flux de nouvelles de la plupart des gens sont dominés par le contenu professionnel des marques, des entreprises et des médias. Zuckerberg dit que Facebook veut changer cet équilibre, de sorte que votre flux sera plutôt dominé par les messages des amis et de la famille, ainsi que les groupes Facebook dont vous êtes membre.

Le changement n’est pas encore en vigueur, il est donc difficile de savoir à quel point cette approche sera différente. À son extrême, cela pourrait ressembler à «l’expérience» que Facebook a menée dans six pays plus petits, où il a supprimé en gros toute publication d’éditeurs professionnels et les a mis dans un deuxième flux, le flux «explorer».

Mais si Facebook veut adopter une approche légère, l’effet pourrait ressembler davantage à des réglages de l’algorithme de flux de nouvelles qui modifient subtilement l’équilibre du contenu, modifiant les types de messages qui ont le plus de succès mais ne les supprimant pas entièrement.

Pourquoi faire ça?

Zuckerberg dit que Facebook a étudié la recherche universitaire et a conclu que les médias sociaux ne sont bons que pour le bien-être des utilisateurs s’ils l’utilisent pour « se connecter avec les gens qui les intéressent ». En novembre, l’entreprise a publié un article affirmant que l’utilisation « passive » des médias sociaux pourrait être nuisible, arguant plutôt d’une approche plus active et plus commune du site.

En conséquence, dit Zuckerberg, Facebook veut promouvoir les types de messages qui encouragent ces interactions, tout en rétrogradant ceux que ses émissions de données encouragent seulement les interactions de surface – j’aime et partage mais rien d’autre.

Le changement apportera d’autres avantages sur Facebook. En diminuant l’influence des médias d’information, elle pourrait éviter une répétition de la mauvaise presse qu’elle a reçue lors des élections américaines de 2016, quand elle est devenue un terreau pour les «fausses nouvelles» (fake news), aidant à répandre des histoires qui ont induit des millions d’utilisateurs en erreur.

Et l’entreprise a longtemps manifesté son inquiétude face au déclin du «partage organique», les utilisateurs publiant du contenu sur leur propre vie, plutôt que de simplement partager des liens vers le web plus large ou des vidéos et des photos professionnelles. Les utilisateurs sont plus susceptibles de partager des détails sur leur propre vie s’ils voient les autres faire la même chose et ainsi la promotion du contenu organique engendre plus de contenu organique.

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